:: étapes ::

le wolkenkuckucksheim de la TH Cottbus semble être une source plus riche que nécessaire. d'autre me sont apparue en cours de route. la communication, la sémiotique, le pragmatisme, l'hermeneutique, la phénoménologie, l'ontologie, .... tant de perspectives possibles - le champs devient vaste - très vaste - il faudra restreindre .... ou alors changer de thème ... le vocabulaire restant le même, les approches se différencient selon l'angle d'observation mais les frontiéres entre les matiéres s'effritent et tendent á disparaitre - dire que le vocabulaire de la "communicationologie" trouve ses racine dans un abstrait mathématique (shanon & weaver)...

comment se positionner? ... la ligue des théoriciens semble être très active ... se perdre pour l'enrichissement intellectuel et personnel dans une quête dont je sais dors et déjà qu'elle ne saurait se terminer? choisir l'empririsme? ... d'une part le désir de réaliser un travail qui "serve" - je ne sais qui - mais qui donne un feed-back depuis les "sphéres éthérées de l'absolument autre" vers notre vie de tous les jours, la composition architecturale ... faire quelque chose "d'utile" ... d'autre part la tendance à se prêter à ce jeu que semble jouer la philosophie à laquelle s'apparente volontiérement la théorie architectonique.

le titre choisi en première instance couvre une vaste gamme de "sous-discipline" au vocabulaire semblable. il faudra trancher ...

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:: communication = schizophrénie? ::

http://commposite.uqam.ca/97.1/articles/latzko.htm

Résumé

Les chercheurs et chercheuses qui se consacrent à la communication sont confrontés à de nombreuses difficultés épistémologiques susceptibles de les plonger dans le désarroi. Tout d'abord, par sa dénomination même, cette science se confond avec son objet. Mais ce n'est que symptomatique de la réticence des spécialistes à se distancier de l'acte de communiquer. En effet, toute épistémologie ne comporte-t-elle pas une forte dose de communication ? Par ailleurs, des obstacles et paradoxes linguistiques viennent entraver la formalisation d'un champ d'étude qui englobe logiquement tout formalisme. L'idée est tributaire d'une langue pour se formuler, et toutes les langues n'expriment pas aussi efficacement certains concepts. Face à ces multiples paradoxes, le salut de notre discipline réside peut-être dans l'acceptation et l'assimilation de la contradiction, autrement dit, de la complexité. Ainsi, l'irréductible polysémie des mots nous amène à introduire la notion de concept dual, ou continuum sémique organisé entre deux pôles contraires.

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:: leib - corps vivant ::

Leib
(Plural Leiber)
der
1. geh [Körper] corps m
2. geh [Bauch] ventre m
3. rw: jemandem zu Leibe ODER auf den Leib rücken familiär coller quelqu'un
jemandem jemanden/etwas vom Leib halten familiär débarrasser quelqu'un de quelqu'un/quelque chose, tenir quelqu'un/quelque chose à distance de quelqu'un
sich (D) etwas vom Leib halten tenir quelque chose éloigné(e)
mit Leib und Seele corps et âme

(c) Larousse.

d'origine germanique (raison pour laquelle il ne trouve pas de répondant exacte en francais) qui désigne bien le corps, mais non pas comme entité à surface/volume défini (ce qui le différencie d'un corps mort) mais comme entité ressentie, comme corps vivant. d'ailleurs, sa racine est la même que celle du mot life (angl.) et leben (all.) désignant la vie.

Le "Leib" s'affranchi donc des restriction sspatiales/géométriques du corps et ne saurait être situé et défini géométriquement.

Mis en corrélation avec la notion de "conscience", H. Schmitz essaye, voulant définir une nouvelle phénoménologie dépassant le paradigme actuel...

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:: trop vaste ::

premières rencontres, premiers contacts - bequcoup de questions ...

:: en vrac :: (on dirait que j'aime bien) ...
wen will ich in der jury haben, wen als lektor? - wer kann mir was bringen, wen interessiert das überhaupt ?

:: pistes ::
riklef rambow - donne un cours ayant l'intitulé "Kommunikation über architektur" qui donnen en fait les nuances exactes de mon champs d'investigation ....
romme - son ancien collaborateur - le service de pyschologie traite la communication - Münster ...
deux prises de contact donc intéressantes - à formuler ...

:: notiz zum angelsächsisch/deutschen emprirsmus ::
an der uni lüttich sind unsere arbeiten theoretsiche literaturarebiten - sind das vielleciht noch die einflüsse der frz. philosophen nach descartes? die deutschen scheinen das ganze sehr viel pragmatischer/empirischer anzugehn - da kommt es auf klare fragestellungen an, literaturarbeiten sind - zumindest für studenten weniger gefragt ...

ob das mal vorgeschlagen werden sollte? empirisch ist vielleciht net frz., aber deshalb net weniger wissenschaftlich ...

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:: mémoire - en vrac ::

[...] Ainsi, je me permets maintenant de vous faire parvenir les quelques réflexions en vrac menées jusqu’à présent.

Il y a en annexe les formulation (bien sommaires) de l’année passée. Je dois avouer qu’elles ne se présentent pas vraiment différemment cette année. Néanmoins, je me permettrai de vous faire parvenir un aperçu de l’état actuel des choses.

Je parle d’aperçu, car il me semble impossible à l’instant de formuler correctement et exhaustivement l’entité des motifs qui conditionnent ma « quête » (veuillez excuser l’utilisation de ce mot quelque peu pathétique – la langue français n’est pas celle dans laquelle je m’exprime le mieux[1])

Comme mots-clés, je crois que crois pouvoir citer « Communication et architecture ». S’ils ne sauraient résumer mes réflexions, ils pourraient néanmoins constituer un cadre (nécessaire d’ailleurs – et encore probablement trop large) pour le champs d’investigation.

D’abord, laissez-moi – avant d’en venir à quelques considérations préalables sur le sujets-même – mettre en évidence quelques réflexions d’ordre général concernant la rédaction de mémoire et mes choix ou désirs à ce propos.

Pour le mémoire, j’aimerai – si possible – mener plus en profondeur quelques réflexions (certainement menées déjà auparavant par d’autre gens bien mieux à même que moi) sur l’architecture[2]. Cela ne vous semblera pas étonnant. Fait est, que les différentes directions prises sont multiples et il serait illusoire de tous vouloir les traiter dans un mémoire. Ces différentes directions proviennent des différents intérêts que j’ai.

· L’homme et l’architecture : je considère l’architecture non pas seulement comme produit d’hommes mais aussi et surtout comme produite pour l’homme. C’est avec l’être humain qu’elle prend et perd sa raison d’être.

· L’architecture et/égale sciences exactes : Étant en faculté des sciences appliquées, je désirerais faire un travail scientifique rigoureux dans la méthode et dans son approche. Les sciences exactes étant à mon avis ni plus ni moins qu’un outils parmi d’autre pour comprendre et approcher un sujet.

· L’architecture et/égale sciences humaines (dites « molles ») : autre moyen d’approche, autre outils. À mon avis complémentaire dans le cas de l’architecture. L’architecture étant produite par des hommes pour des hommes (croisement avec le premier motif), elle ne saurait se laisser réduire à des formules et modèles mathématiques implémentables à des machines[3]. Le facteur « humain » n’étant pas « quantifiable », les sciences humaines sont nécessaires pour une approche globale – à même titre d’outil » que les sciences exactes.

· Le dessin architectural, la représentation graphique en architecture : moyen premier de communication entre les différents intervenants d’un projet d’architecture, que ce soi le concepteur et ses collaborateurs, l’architecte et son maître d’œuvre, le maître de l’ouvrage et l’entrepreneur, … Depuis le dessin sur plaques de gypse, passant par les plans à la plume et les modélisation informatiques et le DTP (cf. point suivant), une relation primordiale a toujours été donnée à l’action de dessiner et l’architecture comme acte créateur. Il s’agirait là d’une première phase de l’acte démiurgique de transposer d’une réalité à une autre l’objet architectural. (« decrease the level of abstraction »).

· Les nouveaux médias : l’ordinateur et l’IT font de plus en plus partie de notre vie – que ce soit au niveau « de consommation » que de celui de la conception et production. Pour l’architecte, l’ère de l’ordinateur se caractérisent par : « informatisation » des documents d’ordre administratifs, organisationnels et financiers (comme pour tout travail bureautique), informatisation du dessin des plans. Mais nombreux sont ceux qui postulent que l’outil informatique a plus de potentialité : assister le concepteur dans ses prises de décision lors de la « création » (objet des travaux de Pierre Leclercq – « Esquisse »), ainsi que lors de diverses applications plus spécialisées (relevés assistés – avec introduction sur place des mesures dans un programme qui communiquerait avec le software de dessin, photogrammétrie numérique, …). Plus rares sont ceux qui préconisent même une préfabrication/fabrication de construction assistée par ordinateur (en usine, à la manière des voitures). Ceci dit, plutôt que de me pencher sur l’ordinateur et l’architecture dans sa phase d’émergence/de conception (ce qui a été traité par Cédric Krier si ma mémoire est bonne) je voudrai me plonger sur l’aspect communicatif des choses : quel impact ont ces outils sur la manière de communiquer ? Si l’architecte avec un tas de rouleaux et de dessins (je caricature )voyait dans le temps ses clients, aujourd’hui les présentations « multimédias » deviennent « en vogue ». (Et ceci n’est qu’un point d’impact parmi d’autres)

· Le langage : Moyen plus naturel de communication entre êtres humains, mais à degré d’abstraction plus élevé que le dessin si on considère l’architecture[4]. Si donc l’architecte parle d’un objet architectural, est ce que ce qui est compris par son interlocuteur est ce que l’architecte a voulu dire ?

· Le « décalage » entre le « quidam » (profane, non-initié, …) et l’architecte : Personne ne niera que ce décalage existe (cf. Rambow[5]) au niveau de la perception de l’architecture et du jugement porté sur cette dernière par l’un ou par l’autre. Les conséquence en sont multiples et j’aimerai en traiter quelques-unes.

Voilà brièvement les quelques motifs qui m’ont amener à prendre dans un premier temps comme champs d’investigation la communication.

Ensuite, je me permettrai d’évoquer les quelques pistes de recherche déjà poursuivie.

· Riklef Rambow, psychologue de formation, en évoque quelques questions dans la présentation d’un cours dispensé à la faculté d’architecture de la TH Cottbus :

« La possibilité de communiquer l’architecture – quels problèmes se présentent ? Comment décrire l’architecture ? Comment parlent les architectes de l’architecture ? Comment en parlent les critiques ? comment en parlent les « quidams » , le profane ? Quels sont les relations entre Savoir, Perception et Jugement ? Quand est-ce qu’une image dit plus que mille mots et quand pas ? Dans quel stade de la conception la communication est-elle sensée ? Quels buts a la communication et quelle sont les moyens à mettre en œuvre ? Quelle rôle joue la communication pour l’avenir de l’architecture ? »

Les publications de cet auteurs paraissent nombreuses et pourront constituer un point d’attaque pour la recherche.

· Temy Tidafi de l’Université de Montréal s’est penché sur le thème des moyens de communication dans sa thèse de doctorat[6], plus particulièrement la représentation graphique et l’ordinateur dans ce cadre.

« Le processus de conception architecturale suppose l’utilisation de moyens de communication pour permettre à différents acteurs de partager et de concrétiser des idées relatives à un projet architectural commun. Lors de ce processus, les acteurs formulent et résolvent un problème architectural en exprimant et en concrétisant leurs intentions dans le projet avec différents moyens de communication qui ne conviennent pas toujours aux besoins de chaque acteur. Par exemple, la représentation graphique comme moyen de communication est non seulement délicate à comprendre par les acteurs qui ne sont pas familiers avec les conventions qui y sont adoptées mais aussi, ne permet de traduire que le résultat des actions posées. Or, pour un problème, les acteurs tentent de figurer et les actions à poser pour arriver à une solution et le résultat de ces actions, soit la solution concrétisée. La satisfaction des besoins de l’action de différents acteurs suppose alors une révision du moyen de communication architectural. Pour y arriver, une partie de la réponse peut être apportée en essayant de comprendre l’origine historique des moyens de communication graphiques. Une autre partie de la réponse peut être obtenue en étudiant les résultats des travaux de recherche en psychologie qui s intéresse à la vie psychique et aux processus mentaux des personnes. Enfin, la réponse ne peut être complétée que si les outils et les connaissances nécessaires à la concrétisation de ce moyen sont développés et mis à l épreuve.(…) »

Expérience pratique dans ce cadre sera probablement le « Euregio Workshop » organisé par l’Université de Siegen et auquel j’espère pouvoir participer. Cette sorte d’atelier est organisé à tour de rôle par une des universités participantes (dont la plupart est allemande, mais il y a aussi Maastricht et Heerlen, et cette année l’ULg) et dure trois jours pendant lesquels les étudiants travaillent en groupes mixtes (1 étudiant de chaque université par groupe) sur un thème donné. Les organisateurs ciblent moins la qualité des travaux effectués que l’échange entre les étudiants. Ceci me paraît intéressant à deux points de vue : Quel influence a la langue parlée sur la perception de l’objet traité ? le workshop se passera en allemand, or ma langue « d’architecture » est le français. Et naturellement : Comment se passera la communication entre des « membres » de « groupes » d’autres conditions culturelles mais dont la définition est le dénominateur commun – « étudiant en architecture ».

Ces pistes (auxquelles s’ajouteront certainement d’autres en cours de recherche) s’ajoutent donc aux réflexions personnelles menées l’année passée déjà et que je me permet de rappeler en vrac :

[...]

Les réflexions derrières ces mots clés ont évoluées mais restent les mêmes. À la différence qu’aujourd’hui, il me semble plus intéressant de traiter plus profondément le langage dans le cadre du mémoire.

Voilà l’état des choses actuellement. Pour le mémoire, il ne saurait être question d’approfondir toutes le questions évoquées, et il me semble, que deux options se présentent : ou alors un balayage rapide des points cités en mettant l’accentuation dur l’un d’eux, ou alors essayer d’approcher « tous » pour une approche plus globale tout en restant conscient du caractère relativement incomplet et peu profond par rapport aux potentialités présentes.

Pour le moment il me semble intéressant d’examiner la communication architecturale sur le plan cognitif, ce qui évoque aussi la question de la pédagogie (« Instructional Design & Knowledge Management ») de l’architecture, vaste sujet aussi (dont je ne sais pas, si un étudiant peut être à même de le traiter sérieusement). Néanmoins on peut y voir un aspect de la communication. Par le biais de la restriction du groupe d’acteurs intervenant (professeur, assistants et étudiants qui sont à voir comme de « quidam » en voie d’initiation), on pourrait traiter tous les points mentionnes ci-dessus, tout en ciblant plus, ce qui éviterait de vouloir traiter un groupe beaucoup plus vaste et complexe dans son fonctionnement.

Evidemment, tout ceci manque encore de structure et d’organisation. Le champs me paraît si large, que pour pouvoir dégrossir une structure, il me semble impératif de faire un premier tri des choses.

Enfin je vous serais reconnaissant si vous pouviez m’aider et canaliser ma recherche dans ce projet.

Merci de bien avoir voulu m’accorder votre attention jusqu’ici.

[...]

Respectueusement

Alexander Bauer

[1] Raison pour laquelle la question se pose aussi la langue de rédaction du mémoire: Mon vocabulaire technique et « d’architecture » est essentiellement français alors que celle où j’ai plus de liberté d’expression et de facilité d’argumentation est ma langue maternelle.

[2]. L’urbanisme et l’aménagement de l’espace extérieur représentent d’autre sujet de communication par leur nature et échelle, même si la manière de les traiter est – à mon avis – la même. Ainsi les réflexions porteront sur « la communication de l’aménagement de l’espace » en général, même si pour la cause, on pourrait se limiter à l’échelle du projet d’architecture.

[3] La CAO est un outils qui se limitent par son nom : « Conception ASSISTÉE par ordinateur ». Ainsi aucun programme (même tenant compte des contraintes physiques, thermiques, de stabilité, ergonomiques, …) ne saurait au stade actuel des technologies remplacer l’architecte – juste l’assister.

[4] Si ma mémoire est bonne, le centre „visuel“ du cerveau se trouve dans la l’hémisphère « muette » donc opposée à celle du centre de la langue.

[5] Rambow, R. (2000). Experten-Laien-Kommunikation in der Architektur. Münster: Waxmann.

Ainsi que http://www.theo.tu-cottbus.de/Lehrstuhl/deu/Rambow.html

[6] « Un moyen de communication pour la description des actions et de leurs résultats en architecture. » ;

http://www.grcao.umontreal.ca/tidafi/index.html;

http://www.is.mcgill.ca/ACFAS/S2085.HTM -

Mr Tidafi a eu la gentillesse de m’envoyer une copie électronique de sa thèse.

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